« Pourquoi faire appel à un professionnel de l’immobilier ? Je m’en sortirai très bien tout seul »… Voilà encore le discours que tiennent 40% des particuliers aujourd’hui. Zoom sur une tendance qui à la peau dure, où rien n’est garanti.
Selon une récente enquête Ipsos, 16 % des transactions immobilières françaises se réalisent entre particuliers qui se connaissent (voisins, amis, membres d’une même famille), 22 % entre particuliers qui ne se connaissent pas et 2% restent sans réponse. 60% des transactions sont donc confiées à des professionnels. Et si la profession peut se réjouir d’un résultat en nette progression (la tendance était à 50/50 ces dernières années), il n’en reste pas moins que 40% du marché lui échappe encore.
Comment expliquer qu’un tel phénomène soit ancré dans les mentalités françaises ?
Que reprochent les particuliers aux professionnels ?
Quel intérêt ont-ils à traiter directement entre eux ?
Quelle est finalement la réalité des transactions qui s’opèrent entre particuliers ?
Il faut bien le constater : la plupart des particuliers pensent, à tort, que vendre ou acheter un appartement reste une démarche à leur portée et que faire appel à un professionnel ne sera qu’une perte d’argent et de temps. Car c’est le temps, d’abord, qui encourage les particuliers à s’essayer au métier de l’immobilier. Persuadés que les démarches peuvent être plus rapides et efficaces sans l’appui d’un professionnel, ils essaient de multiplier leurs chances de vendre ou d’acheter un appartement dans les meilleurs délais. C’est pourquoi ils sont si nombreux à utiliser la méthode du « Pack Publicitaire Personnel ». Une bonne façon d’appeler la multiplication d’annonces publicitaires sur des supports parfois payants, couplés à des tracts d’un amateurisme souvent effrayant. Nadine Corentin, explique : «J’ai pris mon appartement en photo, mis en page un texte et placardé le tout dans mon quartier, jusque dans mon véhicule, sans aucun résultat. J’ai donc diffusé des annonces dans des petits magazines locaux. Six mois plus tard, j’ai fini par payer ces mêmes annonces pour gagner en visibilité. Aujourd’hui, je n’ai toujours pas vendu mon appartement. J’envisage donc désormais de m’en référer à un professionnel ».
Des témoignages comme celui de Nadine, il en existe un si grand nombre qu’il devient difficile de comprendre les fondements du marché du particulier. Pourquoi persister à croire que l’on y arrivera seul, quand les résultats ne sont pourtant pas au rendez-vous ? La crainte de se faire escroquer ? L’appréhension de ne pas tout maîtriser ? L’espoir de faire des économies ? Finalement, l’explication vient de Nadine elle-même. « Je me suis sans doute laissée influencer par ce que l’on entend sur les agents immobiliers, qu’ils ne sont pas toujours très disponibles, souvent pressés et surtout intéressés. Et puis je pensais réellement réaliser une belle affaire ». C’est d’ailleurs l’autre principale raison qui pousse les particuliers à traiter directement entre eux : réaliser une transaction à moindre coût. Or, ce qu’il faut comprendre, c’est que lorsqu’un acquéreur achète directement à un particulier, il paie dans le prix souvent mal négocié et sans le savoir l’équivalent de la commission de l’agent immobilier sans bénéficier de son savoir-faire. Outre ce phénomène récurrent, les risques sont bien plus grands à traiter en particulier : mauvaise estimation du bien, surenchère, visites impromptues, délais hors concours, surcoût des annonces… 19% des transactions réalisées entre particuliers se terminent même devant les tribunaux pour des raisons diverses et variées (source : Lesclésdumidi). Et si toutes ces personnes avaient pris le temps de faire un simple comparatif, le constat aurait été sans appel. Aujourd’hui, les professionnels de l’immobilier sont en effet 3 fois plus efficaces que les particuliers. Des résultats incontestablement dus au fait qu’ils bénéficient d’un savoir-faire, de l’appui d’un réseau et d’outils qui permettent une efficacité et une rapidité que les particuliers ne peuvent pas avoir. C’est le cas notamment des professionnels du réseau CAPIFRANCE qui garantissent une réactivité sans commune mesure, un accompagnement de qualité mais également de véritables conseils avisés. D’ailleurs, chez CAPIFRANCE, on ne parle pas d’agent mais bien de conseillers immobiliers. « Chez CAPIFRANCE un professionnel a un devoir de conseil avant tout. Dans un premier temps, le conseiller va détecter les besoins de ses clients avant de sélectionner les biens qui coïncident avec son profil et ses capacités financières. Un conseiller CAPIFRANCE exerce également un devoir de contrôle afin de vérifier le bon déroulement des démarches administratives et tous les éléments tels que les règles d’urbanisme applicables ou encore la réalisation des diagnostiques » précise Jacques Daboudet, PDG de CAPIFRANCE. En faisant appel à l’un des conseillers CAPIFRANCE, aguerris et encartés, les particuliers s’assurent ainsi la sécurité de leur transaction. Pour rester à la pointe des nouvelles réglementations du secteur de l’immobilier, les 1 400 conseillers immobiliers CAPIFRANCE bénéficient par ailleurs de plus de 100 heures de formation et sont soutenus par le réseau pour apporter au client un accompagnement constant et sur mesure. Une véritable valeur ajoutée pour les particuliers qui devrait très prochainement être reconnue par un label qualité « certification ISO 9001 ». « Cette démarche de labellisation garantit le professionnalisme de nos collaborateurs et de nos méthodes de travail. Pour autant, nous œuvrons également à faire évoluer l’ensemble de la profession par une certification professionnelle du métier de l’immobilier » précise Jacques Daboudet, bien conscient de la réalité du marché. « Même si l’information est aujourd’hui plus facile à trouver grâce à l’arrivée d’internet, il n’en reste pas moins que l’immobilier est un vrai métier et que les particuliers ont un véritable intérêt à faire appel à un professionnel pour garantir le succès de leur projet » conclut-il.