Simulation d’éco-prêt à taux zéro en 2023 : le guide ultime pour vos projets de rénovation

Dispositif d’aide permettant d’avoir accès à la propriété, le prêt à taux zéro (PTZ) s’avère tout à fait gratuit. L’octroi de celui-ci présente, en effet, l’avantage de ne pas s’accompagner de frais de dossier ni d’intérêts.

En quoi consiste le PTZ ?

Mis en place par l’État, l’éco-prêt à taux zéro est destiné aux ménages dont les revenus sont modestes ou intermédiaires. L’objectif est de leur permettre de devenir plus facilement propriétaires. Pour y avoir droit, il ne faut pas que les revenus dépassent un certain seuil, tout en prenant en compte la composition du foyer. Cliquez sur le lien pour obtenir une simulation d’éco-prêt à taux zéro.

Le prêt à taux zéro a vocation à participer au financement de l’achat d’une résidence principale, avec comme avantage l’absence de frais de dossier et d’intérêt. Divers critères entrent en compte pour l’octroi du prêt, sachant qu’il est valable dans toute la France. En particulier, cela dépend de la localisation du bien et de sa nature. Autrement dit, il y a des différences selon les régions en matière de plafonds de revenus et de limites de sommes accordées.

Ce prêt ne peut servir qu’au financement d’une résidence principale, et les primo-accédants peuvent y prétendre. Ces derniers correspondent aux personnes qui ne sont pas propriétaires d’une résidence principale depuis au moins deux ans au moment de la demande du prêt. Par ailleurs, le remboursement doit être achevé avant 10 ou 15 ans dans ce cas. La période de différé peut être de 5, 10 ou 15 ans.

Il faut bien garder à l’esprit que ce type de prêt a été conçu pour compléter un autre prêt en vue de financer une acquisition immobilière. Une autre obligation est que le logement visé doit être neuf. Il peut s’agir également d’un logement social existant ou d’une habitation ancienne à rénover. Il a été décidé que le dispositif de prêt éco-PTZ se poursuivrait jusqu’en 2027.

Utilisation d’un simulateur

Il est possible d’employer un simulateur pour connaître son éligibilité à l’éco-PTZ 2023. De plus, le montant et la possibilité intégrale de financement sera aussi fournie à ce moment-là.

La première règle lorsque l’on veut commencer un projet immobilier est de bien connaître la somme dont on dispose. Avec la simulation de prêt, on peut accéder à diverses informations, à savoir le montant des mensualités, le restant à vivre et la capacité de financement. En même temps, cette simulation va mettre en évidence le coût de l’assurance emprunteur. Cela permettra de révéler précisément ce que coûtera au final le crédit.

Grâce à tous ces renseignements, il est possible de savoir vers quel type de bien se tourner. Et, il en va de même pour les aides à l’accession. Pour les prétendants à l’éco-PTZ, il est judicieux de prévoir une simulation de prêt à taux zéro en parallèle de celle d’un prêt immobilier ordinaire. Ainsi, la part que représentera ce prêt dans le financement de l’acquisition sera claire. Le montant à faire financer par des crédits supplémentaires sera également révélé. Découvrez le site particuliers.sg.fr pour trouver une solution de financement.

Lors de la simulation éco-prêt à taux zéro, il faut fournir quelques éléments tels que le montant du revenu fiscal de référence de 2022. Le nombre de personnes dans le foyer, le coût du projet, l’apport personnel doivent également être transmis. Il ne faut pas oublier non plus le type de logement choisi et sa localisation, ainsi que le coût des travaux à prévoir s’il s’agit d’un logement ancien.

Après l’intégration de toutes ces informations, le simulateur sera alors en mesure d’indiquer si le demandeur peut avoir droit à ce prêt. En même temps, il connaîtra le montant qu’il aura la possibilité d’emprunter.

Le PTZ pour les logements neufs et anciens

L’octroi d’éco-prêt peut aussi bien concerner un bien immobilier neuf qu’un bien immobilier ancien à rénover.

Pour un achat dans le neuf, le PTZ peut être accordé dans plusieurs situations. On peut ainsi penser à un logement neuf sur plan, un terrain, la transformation d’un local de travail en appartements. Il y a également le cas d’une habitation neuve qui n’a jamais connu d’occupants.

Le montant du PTZ doit être limité à 40 % du prix d’achat du bien dans l’éventualité qu’il est localisé en Zone A, A Bis ou B1. La limite est fixée à 20 % si le bien se trouve en zone B2 ou C.

S’agissant de l’immobilier ancien, la rénovation du bien concerné doit impliquer des travaux de grande ampleur. Il est ainsi nécessaire que leur montant minimum corresponde à 25 % de la valeur du bien. Pour ce cas de figure, la localisation n’entre pas en ligne de compte.

Les conditions d’octroi concernant le PTZ

Il convient de noter que les ressources sont prises en considération lors de la demande de prêt PTZ. Celles-ci ne doivent pas excéder un certain seuil, sachant que le nombre de personnes dans le foyer et l’implantation du bien intervient dans sa détermination. Là encore, le simulateur tient compte de ces données.

Le logement choisi, qu’il soit neuf ou ancien, a pour obligation d’être considéré comme la résidence principale dans un délai d’un an. Ce dernier court après la date d’achat ou celle de l’achèvement des travaux.

Le dispositif PTZ s’avère tout à fait adapté pour les primo-accédants. Rien n’empêche donc le propriétaire d’un logement en location de se voir accorder un PTZ pour l’achat de sa résidence principale.

Les personnes souffrant de handicap bénéficient de mesures particulières. Ainsi, elles peuvent effectuer une demande de PTZ même si elles ont le statut de propriétaire pour leur résidence principale depuis moins de deux ans.

Le PTZ n’est pas destiné à lui seul à financer l’intégralité l’acquisition du bien immobilier. Il est donc nécessaire d’envisager d’autres demandes de prêt, sans oublier un apport personnel. Parmi les prêts cumulables avec un PTZ, il y a le prêt d’accession sociale (PAS), le prêt d’épargne logement, ou encore le prêt conventionné. Il existe également d’autres prêts complémentaires tels que le prêt action logement, les prêts aux fonctionnaires, les prêts aux collectivités territoriales et les prêts aux caisses de retraite.