La complexité du marché parisien et en Ile-de-France réside dans sa diversité selon les arrondissements et les départements et la nature des biens immobiliers- éléments d’analyse sur lesquels s’est greffée la crise sanitaire.
En effet depuis un peu plus d’un an les lignes bougent : les prix baissent dans l’ancien et l’on commence à parler de retournement du marché parisien. Après les confinements successifs, les Parisiens privilégient de plus en plus la recherche d’un extérieur -mais les balcons, jardins et terrasses sont peu nombreux et souvent petits à Paris-, de superficies plus grandes voire des envies d’ailleurs pour plus d’espace, plus de vert, etc.
Faire appel à une agence
Pour trouver un bien à acheter ou réussir à vendre au bon prix dans ce contexte si particulier depuis un an, le recours à une agence immobilière à Paris est un atout. Par leur professionnalisme, leur connaissance du marché parisien et francilien, leur sens de l’accompagnement… les agences telles que celles du groupe Moriss permettent à leurs clients d’écrire une nouvelle page de leur histoire en les aidant à vendre ou à trouver le bien qui leur correspond au meilleur prix dans un contexte ou les prix oscillent entre baisse dans l’ancien et hausse dans le neuf.
Une situation entre stagnation et baisse
A Paris, la tendance à la baisse se confirme dans presque tous les arrondissements depuis l’automne 2020 : seuls les XXe et XVIIIe arrondissements y échappent selon les résultats de la nouvelle étude de PriceHubble -cette start-up spécialisée dans l’intelligence artificielle- en date du 30 mars 2021 sur les prix de l’immobilier à Paris et en Ile-de-France. La baisse observée est en moyenne de 1,1 % pour le 1er trimestre 2021 et de 2% en un an et se fonde sur une analyse de plus de 90 000 annonces de biens à la vente. En Ile-de-France, seul le département du Val-de-Marne enregistre une hausse des prix médians pendant que dans le même temps les prix stagnent dans les Hauts-de-Seine, la Seine Saint-Denis et les Yvelines et affichent une baisse dans l’Essonne (-2,4 %), le Val d’Oise (-1,7 %) et la Seine-et-Marne (-1,7 %).
Entre stagnation voire baisse des prix du marché parisien et de l’Ile-de-France, acheteurs et vendeurs ont tout intérêt à être accompagnés pour réaliser la meilleure transaction possible dans un marché qui est impacté par un événement extérieur dont la durée est inconnue.
Anne Vaneson-Bigorgne